Parce que tous les accidents ne sont pas aussi sympathiques que dans le Corniaud et que vous n’aurez pas forcement Bourvil en face de vous, voici quelques conseils pour éviter les éventuelles complications en cas d’accident avec un tiers.
En Israel, chaque partie fait sa propre déclaration à sa compagnie. En fonction des faits présentés, elle sera considérée par sa compagnie comme responsable ou non du sinistre.
Les compagnies se mettent ensuite en contact et échangent leurs informations: Si la responsabilité concorde sur les deux déclarations (comme c’est souvent les cas), alors il n’y a pas de problème et les procédures de gestions sont lancées.
Par contre, dans le cas où les déclarations ne concordent pas, il est primordial de disposer d’un maximum de preuves afin d’éviter une procédure longue et fatigante.
Quels sont donc les éléments dont il faut disposer:
1/ La base
Prendre les coordonnées du tiers (nom, prénom, telephone, teoudat zehout)
2/ Des photos!
Une photo du permis du tiers (richayone nehigua),
Une photo de sa carte grise (richayone rekhev),
Une photo de son attestation d’assurance (Hova),
Une photo des véhicules aux points d’impact,
Une photo de l’emplacement des véhicules.
3/ Des témoins
Demander à des passants de se porter témoins au cas où, et prendre leur numéro de téléphone.
S’il s’avère, dès le début, que la partie adverse est de mauvaise foi, il est préférable d’appeler directement la police en composant le 110.
Une fois rentrés à la maison, envoyez à votre courtier un mail qui contient:
- la date,
- le lieu,
- une description de la scène,
- tous les éléments dons nous avons parlés plus haut
Votre courtier vous posera certainement quelques questions de plus avant de déclarer le sinistre à la compagnie. Le but de ces dernières est de peaufiner son dossier pour fermer la porte à d’éventuelles réclamations de la partie adverse.
C’est là toute la plus-value du courtier.